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     Questions de conscience pour ceux qui ont encore une âme ?


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  • Comment peut -on répondre à de tels ordres ?

    Le Canard enchaîné confirme que l'ordre de porter des fusils d'assaut et de «prééquiper un binôme observateur tireur» en cas de besoin a bel et bien été donné aux commandants des CRS avant l'acte 9 des Gilets jaunes, le 12 janvier dernier.

    Les images ont fait le tour des réseaux sociaux après l'acte 9 de la mobilisation des Gilets jaunes et soulevé nombre d'interrogations. Des agents des Compagnies républicaines de sécurité (CRS) équipés de fusils d'assauts semi-automatiques HK G36 ont été remarqués, notamment à Paris, en marge de la manifestation du 12 janvier à la fin de laquelle des heurts ont éclaté

    CRS sont maintenant armée de fusil d'assault. On est en France ?

    Lien de la vidéo

    L'édition du 16 janvier du Canard enchaîné lève le mystère sur la présence de ces armes létales entre les mains des policiers antiémeute. Il s'agit en réalité d'un ordre du ministère de l'Intérieur émis le 10 janvier à destination des commandants de CRS, leur demandant de déployer systématiquement «2 HK G36» lors d'«opérations de maintien de l'ordre». 

     

    Interrogé sur l'utilité d'un tel étalage de force par l'hebdomadaire, Philippe Klayman, le directeur central des CRS, a donné une explication pour le moins surprenante. Il s'agirait en effet d'éviter les vols de ces armes dans les véhicules de police par des émeutiers, comme cela s'est produit lors de l'acte 3 de la mobilisation


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  •  Un comportement de psychopathe mad


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  • Disciple de l'essayiste québécois René Bergeron et de l'ancien commandant de la marine canadienne William Guy Carr, Monast fut également proche des défenseurs du crédit social (Parti Crédit social du Canada). Au début des années 1990,

    il se consacre à la rédaction d'ouvrages sur le thème du Nouvel Ordre Mondial et de conspirations ourdies par des sociétés secrètes, en particulier par les Illuminati. Il est particulièrement inspiré par les travaux de William Guy Carr.

    Il fonde l'Agence Internationale de Presse libre (AIPL) où il publie la plupart de ses enquêtes.

    En 1995, il fait paraître un document intitulé les « Protocoles de Toronto »,

    Un livre fait selon le modèle des Protocoles des sages de Sion où il dévoile l'activité secrète d'un groupe maçonnique, les « 666 »,

    rassemblant tous les vingt ans les puissants de ce monde en vue de l'établissement du Nouvel Ordre Mondial et du contrôle mental des individus.

    Monast se disait filé par les forces policières pour avoir trempé dans des « réseaux d'informations interdites ».

    Monast meurt d'une crise cardiaque le 5 décembre 1996. Lien vers le PDF: https://www.stopmensonges.com/wp-cont... 

    Bonne écoute à tous !


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  • Ce retraité a écrit en préfecture du Val-d’Oise et a eu la surprise d’être interrogé par les services du renseignement.

    En voulant apporter sa pierre au débat national, Jacques D. s’est retrouvé… interrogépar les services de renseignement.
    Ce retraité de Mériel n’en revient pas. « Cela donne à réfléchir sur le fond. », s’interroge le septuagénaire. « Ils disent que le débat est ouvert à tous, mais derrière on est fliqué… »
    Ce retraité a écrit en préfecture du Val-d’Oise et a eu la surprise d’être interrogé par les services du renseignement.
    En voulant apporter sa pierre au débat national, Jacques D. s’est retrouvé… interrogépar les services de renseignement. Ce retraité de Mériel n’en revient pas.
    « Cela donne à réfléchir sur le fond. », s’interroge le septuagénaire. « Ils disent que le débat est ouvert à tous, mais derrière on est fliqué… »
    C’est une simple lettre adressée au préfet du Val-d’Oise qui a tout déclenché. Nous sommes en décembre et Jacques a envie de faire remonter des « doléances ».
    « A l’époque la mairie n’avait pas encore mis de cahier à disposition, explique-t-il. Je me suis dit qu’il n’y avait qu’un seul moyen officiel de s’exprimer, en transmettant directement à la préfecture. »
    Car à ses heures perdues, ce retraité aime débattre. Il fait partie depuis longtemps d’un petit groupe sur les réseaux sociaux, appelé la lucarne, au sein duquel on commente l’actualité politique.
    Lorsqu’à émergé le mouvement des Gilets Jaunes, un petit forum issu du premier a été créé intitulé « les gilets jaunes solidaires du Val-d’Oise ».
    C’est une synthèse des réflexions de ce groupe que Jacques a voulu faire remonter.
    Il a envoyé quatre pages de doléances sur des thèmes variés allant des écarts de revenus à l’Euro en passant par l’éducation et la laïcité. Le document est assorti d’une lettre signée par le Mériellois et demandant au préfet de « transmettre au Premier ministre ».
    L’histoire aurait pu s’arrêter là mais la semaine dernière, Jacques reçoit un appel émanant du service départemental du renseignement territorial.
    « Ils m’ont demandé de venir me présenter à leur bureau », explique le Val-d’Oisien. « Ou alors m’ont dit qu’ils pouvaient venir à mon domicile. »
    Vendredi dernier, le retraité reçoit donc la visite de deux agents qui sont restés… une heure et demie. « Ils m’ont posé beaucoup de questions, mais ne m’ont jamais dit pourquoi. »
    Qui sont les membres de son groupe, a-t-il fait partie d’un parti politique…
    Le Val d’Oisien n’a pourtant jamais manifesté avec les Gilets Jaunes. « Mon groupe de discussion est un mélange de gens raisonnables qui n’ont jamais rien cassé et qui ne vont même pas sur les ronds-points ! »
    Dans le système républicain, la moindre expression politique devient suspecte au gouvernement.

     Mes sources 

     


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