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    L’Italie subie-t-elle un véritable hécatombe sanitaire comme les médias essaient de nous le faire croire?
    Le principal spécialiste de la santé du pays nous assure que non.
    Pourquoi Trump a-t-il réellement invoqué des pouvoirs extraordinaires?

    En Italie, on nous sert 800 morts en une journée, alors que cela n’a rien à voir avec ce que l’on nous dit ailleurs. Pourquoi?

    Au fur et à mesure qu’on fait des tests, le taux de mortalité diminue et la peur réduit.

    En Italie, les chiffres semblent être exagérés.

     

    Alexis Cossette fait le point sur le sujet :


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  • Depuis juillet 2019, des moustiques mâles stériles transgéniques ont été lâchés au Burkina Faso, pour préparer, à terme, un lâcher d’une autre nature : celui d’autres moustiques, vecteurs du paludisme, mais forcés génétiquement afin que leur population se réduise.

    Sur le terrain, difficile d’en savoir plus...

    Le 1er juillet 2019, à Bana, au Burkina Faso, le projet Target Malaria a disséminé dans l’environnement
6 400 moustiques mâles génétiquement modifiés par transgenèse pour être stériles. L’autorisation avait été donnée en août 2018 par l’Agence nationale de biosécurité.

    Concrètement, ce moustique a été modifié pour produire une enzyme qui
« cible un site spécifique sur le chromosome X et le découpe en morceaux, rendant le mâle stérile. I

    l en est de même lors de la fertilisation de l’œuf, de sorte que les œufs pondus par les femelles inséminées par ce mâle sont non viables ».

    Ce n’est pas la même modification que celle déployée par Oxitec, qui a modifié génétiquement le moustique mâle Aedes aegypti 

    Une consultation publique… mais un audit privé

    Ce projet n’est qu’une première étape.

    Le but ultime est de créer une lignée de moustiques Anopheles gambiae génétiquement modifiés par forçage génétique, pour réduire drastiquement la population de moustiques vecteurs du paludisme.

    Cette technologie force les lois de l’hérédité mendélienne, avec des descendants des moustiques disséminés portant majoritairement la modification génétique…

    Ainsi, contrairement à la stratégie d’Oxitec, il ne serait pas nécessaire de réintroduire aussi souvent des moustiques en grand nombre et à intervalles réguliers. 

    Cette première étape n’a pas vocation à réduire la population de ces moustiques mais à favoriser l’acceptation sociale d’un projet d’éradication d’une espèce.

    Pour Delphine Tizy, salariée de l’Impérial Collège pour ce projet : « La population locale a montré son soutien au lâcher et le comité de suivi était présent pour ce lâcher (comité composé de membres de la communauté).

    Le lâcher a également été fait en présence de l’agence nationale de biosécurité et du comité d’éthique ».

    En amont du lâcher, Target Malaria avait organisé de nombreux débats dans les villages, en plénière ou par groupe (femmes, éleveurs, religieux, etc.).

    Delphine Thizy nous assure que « tout le monde a pu participer ». Depuis un an, un salarié du projet vit à Bana, l’un des trois villages prévus pour la dissémination, et « fait presque du porte à porte » pour sensibiliser la population..
    Target Malaria a travaillé à partir de 2017 avec les linguistes et les communautés pour expliquer avec
« des mots suffisamment neutres » ce qui était prévu. Objectif : obtenir un
« consentement » signé, qu’Inf’OGM, malgré sa demande, n’a pu se procurer.

    De même, un audit aurait été fait par Target Malaria pour déterminer le niveau de compréhension de la population à ce projet.

    Mais cet audit « n’est pas public car il s’agit d’un document interne d’évaluation ».

    Peu de contestation permise

    Ce point de vue est totalement contesté par la société civile à l’instar du Collectif Citoyen pour l’Agro-Écologie (CCAE) et de la Coalition africaine pour la protection du patrimoine génétique (Copagen). Tapsoba Ali de Goamma, un des responsables du CCAE, a rencontré les villageois de Bana.

    Il précise à Inf’OGM que le consentement a été donné par un petit groupe, de 5 à 10 personnes, composé de chefs de village, de leaders paysans, de religieux, totalement acquis à la cause de Target Malaria.

    Il considère, aussi, que la majorité des villageois restent sceptiques et maîtrisent très mal ce sujet.

    On leur dit que ce projet va permettre d’éradiquer le palu, et ils ont envie d’y croire.

    Il nous raconte qu’un chef de village a demandé à la Copagen, dans une lettre qu’Inf’OGM s’est procurée, de ne pas publier les enregistrements audio et vidéo des échanges.

    Delphine Thizy reconnaît qu’au niveau local, les discussions avec les communautés et autres parties prenantes « sont ouvertes à tous » mais sans débat contradictoire car ils n’invitent « pas spécifiquement de personnes critiques ».


    Le projet Target Malaria nous affirmait en juillet 2019 que des « recaptures intensives et journalières » de moustiques allaient être réalisées pendant une dizaine de jours.

    Mais, malgré nos demandes, nous n’avons reçu aucune précision sur ces captures…

    Des fonds privés pour Target malaria

    Target Malaria est un consortium qui réunit 130 personnes de 14 institutions de différents pays, financé par la Fondation Bill & Melinda Gates et Open Philanthropy Project Fund à hauteur de 75 millions de dollars (et d’autres subventions sont attendues).

    sources

    On ne sait pas ce que ces gens de Target malaria avait prévu de faire à plus terme ?

    Mais peut être que  pour le covid-19 , aurait -il en rapport avec la malaria ?

    On peut vraiment se le demander ?

    Surtout qu'on on nous parle d'un médicament anti-paludisme à base de Nivaquine pour soigner du covid-19 ?

    S'il n'y aurai pas des similitudes entre ces 2 virus ?

    Il faut savoir qu'il y a 4 virus dans le paludisme ,

    mais dans l'ensemble des crises, on constate des vomissements, de la diarrhée, des essoufflements, jusqu'à  perdre connaissance, je connais bien, j'ai été infecte au Togo en 1988 ! 

    Et la Nivaquine ne me suffisait pas, je suis revenu en France avec le paludisme, mais je n'avais pas de crise, simplement, je perdait mon souffle !

    J'ai été traité avec un autre médicament et depuis,j'ai oublié cette maladie, je me porte bien , avec bientôt 72 ans printemps ! 

    En tout cas la vérité finira un jour par sortir sur le covid-19 

    Donc je me pose la question ?

     est-ce que le banal traitement à la chloroquine, médicament couramment utilisé contre le paludisme, qui a montré des signes d'efficacité contre le coronavirus, a assuré mardi à l'AFP Didier Raoult, directeur de l'Institut Méditerranée Infection à Marseille, en s'appuyant sur les résultats d'une étude clinique chinoise, aurait il une base de virus similaire au paludisme ?

    En ce cas il y a un autre traitement  peut être  qui serai à utiliser également , du moins on pourrai l'essayer ? qui plus est cette plante est originaire de Chine : LIEN ou ici en gélules , produit bio naturel !

     En faisant une association avec la chlorophylle : ici

    A votre santé !

     

     

     


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  • Le Coronavirus choisit ses victimes?

     




     
     
     
    Le coronavirus tue 71 à 80% d'hommes contre 20 à 29% de femmes:
    "Les médecins chinois ont découvert que le coronavirus est conçu
    pour se fixer aux récepteurs pulmonaires qui sont cinq fois plus fréquents
    chez les hommes asiatiques que chez les hommes africains ou indo-européens.
    Les femmes asiatiques ont également moins de la moitié
    de ces récepteurs que les hommes asiatiques".


    Un nouveau coronavirus (2019-nCov) a été identifié à Wuhan,
    dans la province du Hubei, en Chine, en décembre 2019.
    Ce nouveau coronavirus a provoqué des milliers de cas de maladie mortelle
    en Chine, et d'autres patients ont été identifiés en nombre croissant
    à l'échelle internationale.
    Il a été rapporté que 2019-nCov partage le même récepteur, l'enzyme de conversion
    de l'angiotensine 2 (ACE2), avec le SRAS-Cov.

    Ici, sur la base de la base de données publique et de la technique d'ARN-Seq
    monocellulaire de pointe, nous avons analysé le profil d'expression d'ARN ACE2
    dans les poumons humains normaux.
    Le résultat indique que l'expression du récepteur du virus ACE2 est concentrée
    dans une petite population de cellules alvéolaires de type II (AT2).

    Étonnamment, nous avons constaté que cette population d'AT2
    exprimant l'ACE2 exprimait également fortement de nombreux autres gènes
    qui régulent positivement la reproduction et la transmission virales.

    Une comparaison entre huit échantillons individuels a démontré                                                                        
    que le mâle asiatique possède un très grand nombre de cellules
    exprimant l'ACE2 dans le poumon.
    Cette étude fournit un contexte biologique pour l'enquête épidémique
    sur la maladie infectieuse 2019-nCov et pourrait être informative
    pour le développement futur d'une stratégie thérapeutique anti-ACE2.

    Une infection grave d'ici 2019-nCov pourrait entraîner un syndrome de détresse
    respiratoire aiguë (SDRA) et une septicémie, entraînant la mort
    d'environ 15% des personnes infectées1,2.
    Une fois mises en contact avec les voies respiratoires humaines,
    les protéines de pointe de ce virus peuvent s'associer aux récepteurs de surface
    des cellules sensibles, qui assurent la médiation de l'entrée du virus
    dans les cellules cibles pour une réplication ultérieure.
    Récemment, Xu et.al.,
    ont modélisé la protéine de pointe pour identifier le récepteur de 2019-nCov
    et ont indiqué que l'enzyme de conversion de l'angiotensine 2 (ACE2)
    pourrait être le récepteur de ce virus3. 

    ACE2 était auparavant connu comme le récepteur du SRAS-Cov et du NL634–6.
    Selon leur modélisation, bien que la force de liaison entre 2019-nCov et ACE2
    soit plus faible que celle entre SARS-Cov et ACE2,
    elle est toujours beaucoup plus élevée que le seuil requis pour l'infection virale.
    Zhou et. Al. a mené des études d'infectiosité virale
    et a montré que l'ACE2 est essentiel
    pour que le nCov 2019 pénètre dans les cellules HeLa7.
    Ces données indiquent que l'ACE2 est probablement le récepteur de 2019-nCov.

    L'expression et la distribution du récepteur décident de la voie d'infection virale
    et la voie d'infection a une implication majeure pour comprendre la pathogenèse
    et concevoir des stratégies thérapeutiques.
    Des études antérieures ont étudié l'expression de l'ARN de l'ACE2
    dans 72 tissus humains8.
    Cependant, le poumon est un organe complexe avec plusieurs types de cellules,
    et ce profil d'ARN de PCR en temps réel est basé sur une analyse de tissus
    en vrac sans aucun moyen d'élucider l'expression de l'ACE2
    dans chaque type de cellule du poumon humain. 

    Le niveau de protéine ACE2 est également étudié par immunocoloration
    dans le poumon et d'autres organes8,9.
    Ces études ont montré que dans les poumons humains normaux,
    l'ACE2 est principalement exprimée par les cellules épithéliales alvéolaires
    de type II et de type I.
    Les cellules endothéliales seraient également positives pour l'ACE2.
    Cependant, l'analyse d'immunocoloration est connue pour son manque de spécificité
    du signal, et une quantification précise est également un autre défi
    pour une telle analyse.

    La technologie de séquençage d'ARN unicellulaire (scRNA-Seq) r
    écemment développée nous permet d'étudier l'expression de l'ACE2
    dans chaque type de cellule et de fournir des informations quantitatives
    à une résolution unicellulaire.
    Les travaux antérieurs ont constitué la base de données en ligne
    pour l'analyse scRNA-Seq de 8 donneurs de transplantation pulmonaire
    humaine normale10. 

    Dans les travaux en cours, nous avons utilisé les outils bioinformatiques
    mis à jour pour analyser les données.
    Au total, nous avons analysé 43 134 cellules dérivées du tissu pulmonaire
    normal de 8 donneurs adultes. 

    Nous avons effectué un clustering basé sur un graphique non supervisé
    (Seurat version 2.3.4)
    et pour chaque individu, nous avons identifié 8 à 11 clusters cellulaires
    transcriptionnellement
    distincts en fonction de leur profil d'expression de gène marqueur.
    En général, les grappes comprennent les cellules alvéolaires de type II (AT2),
    les cellules alvéolaires de type I (AT1), les cellules épithéliales des voies respiratoires
    (cellules ciliées et cellules Club),
    les fibroblastes, les cellules endothéliales et divers types de cellules immunitaires. 

    La carte des grappes cellulaires d'un donneur représentatif
    (homme asiatique, 55 ans) a été visualisée à l'aide de l'intégration stochastique voisine
    distribuée en t (tSNE) comme indiqué sur la figure 1b et ses principales expressions
    de marqueur de type cellulaire ont été démontrées sur la figure 2.

     Source Traduction avec google /  https://www.biorxiv.org/
     

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  • Plus de 99% des décès par coronavirus en Italie étaient des personnes qui avaient souffert de conditions médicales antérieures, selon un étude réalisée par l'autorité sanitaire nationale du pays.



    Après que le nombre de décès dus au virus a atteint plus de 2 500, avec une augmentation de 150% la semaine dernière, les autorités sanitaires ont fouillé les données pour fournir des indices permettant de lutter contre la propagation de la maladie.

    Le gouvernement du Premier ministre Giuseppe Conte évalue s'il convient de prolonger le verrouillage national au-delà du début avril, quotidiennement La Stampa a rapporté mercredi. L'Italie compte plus de 31 500 cas confirmés de la maladie.
    Décès de coronavirus en Italie

    Par maladies antérieures (%)

    Source: ISS Italy National Health Institute, échantillon du 17 mars

    La nouvelle étude pourrait expliquer pourquoi le taux de mortalité en Italie, à environ 8% du nombre total de personnes infectées, est plus élevé que dans d'autres pays.

    L'institut basé à Rome a examiné les dossiers médicaux d'environ 18% des décès par coronavirus du pays, constatant que seulement trois victimes, soit 0,8% du total, n'avaient aucune pathologie antérieure. Près de la moitié des victimes avaient souffert d'au moins trois maladies antérieures et environ un quart avaient une ou deux conditions antérieures.

    Plus de 75% souffraient d'hypertension artérielle, environ 35% souffraient de diabète et un tiers souffraient de maladies cardiaques.
    Menace pour les personnes âgées

    L'âge médian des personnes infectées est de 63 ans, mais la plupart des personnes décédées sont plus âgées

    Source: ISS Italy National Health Institute, échantillon du 17 mars

    L'âge moyen des personnes décédées du virus en Italie est de 79,5 ans. Au 17 mars, 17 personnes de moins de 50 ans étaient mortes de la maladie. Toutes les victimes italiennes de moins de 40 ans sont des hommes souffrant de graves problèmes de santé.

    Alors que les données publiées mardi indiquent un ralentissement de l'augmentation des cas, avec une augmentation de 12,6%, une étude distincte montre que l'Italie pourrait sous-estimer le nombre réel de cas en testant uniquement les patients présentant des symptômes.

    Selon la Fondation GIMBE, environ 100 000 Italiens ont contracté le virus, a rapporté le quotidien Il Sole 24 Ore. Cela ramènerait le taux de mortalité du pays plus près de la moyenne mondiale d'environ 2%.

    Source : https://www.bloomberg.com


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  • Le directeur général de l'Institut Christian Bréchot et trois autres personnes sont convoquées par les policiers de la Brigade de répression de la délinquance contre la personne (BRDP) de la police judiciaire parisienne.

    L'enquête judiciaire sur le transport de dangereux virus à l'Institut Pasteur s'accélère. Christian Bréchot, le directeur général de cette fondation privée reconnue d'intérêt publique, et trois autres personnes sont convoquées pour être auditionnées par les policiers de la Brigade de répression de la délinquance contre la personne (BRDP) de la police judiciaire (PJ) parisienne.

    Ce nouveau rebondissement survient quelques jours après que le quotidien Le Parisien a révélé l'ouverture d'une enquête préliminaire à l'Institut Pasteur en décembre 2016.

    L'affaire qu'il s'agit d'éclaircir concerne les conditions de transport et de stockage de façon clandestine de dangereux virus provenant de Corée du Sud.

    Trois tubes d'échantillon de Mers Coronavirus, un virus "hautement pathogène", auraient voyagé dissimulés dans une boîte à cosmétiques caché dans le sac à main d'une chercheuse de l'Institut Pasteur de Corée du Sud.

    Les échantillons auraient été ensuite rangés pendant cinq jours dans une étagère de l'Institut Pasteur, sans que les autorités sanitaires ne soient averties. Pire, les précautions de conservation n'auraient pas été respectées, d'après le Parisien.

    L'incident a été révélé un an après une fuite de la presse coréenne.

    Si le virus était inactivé, aux dires du directeur Christian Bréchot, l'affaire reste grave : ne pas déclarer un incident concernant un MOT (micro-organismes et toxines dans le jargon scientifique), est passible de 350 000 euros d'amende et cinq ans d'emprisonnement. L'enquête en cours ne manquera pas d'alimenter la polémique autour de dysfonctionnements au sein du célèbre institut de recherche.

    "AUCUNE MENACE SANITAIRE", SELON LE DIRECTEUR DE L'INSTITUT PASTEUR

    Dans une interview exclusive donnée à Pourquoi docteur, Christian Bréchot explique cette non déclaration à l'ANSM (agence nationale de sécurité du médicament) du transport du virus par un "problème de communication.

    La déclaration à l'ANSM doit être faite par le chercheur titulaire de l'autorisation des MOT.

    La déclaration n'a pas été faite, c'est une erreur tout à fait involontaire.

    Ce n'était pas au directeur général de Pasteur de la faire.

    Toutefois, il réfute l'idée qu'il y ait eu une quelconque "menace sanitaire ni manipulation de la part de l'Institut".

     


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