• votre commentaire
  • Bonne vision !


    votre commentaire
  •  

    À partir de 2003, après des éclosions de coronavirus SRAS et de MERS, les scientifiques ont commencé la course à la création d’un vaccin contre le coronavirus, alors pourquoi n’en avons-nous pas déjà un? L’immunologiste et microbiologiste de haut niveau, le Professeur Dolores Cahill, Ph.D., met en lumière les raisons pour lesquelles les fabricants de vaccins luttent pour produire un produit sûr et efficace. --- Appreciation & Thanks: Del Bigtree The HighWire avec Del Bigtree: https://www.youtube.com/channel/UCq6o... ---

     

     


    votre commentaire
  • Cette vidéo est un extrait d’un film qui sortira en janvier 2021 https://www.planetlockdownfilm.com Catherine Austin Fitts livre ses explications concernant la situation que nous vivons. Elle évoque les banques, les émeutes, le vaccin, les projets des globalistes et propose sa solution. Catherine Austin Fitts est une ancienne banquière et a travaillé comme assistante du secrétaire d’Etat au logement sous l’admin

     

     

    Catherine Austin Fitts est une ancienne banquière et a travaillé comme assistante du secrétaire d’Etat au logement sous l’administration George W. Bush.

    Elle est à l’origine de la dénonciation de nombreuses fraudes et a fondé la société de Conseil Solari qu’elle dirige.

    Merci beaucoup à Fontsgraphicdesign pour le graphisme. je m'appelle catherine austin fitz je suis l'éditeur du rapport solari et directrice générale des services de conseil en investissements de solaris selon vous que se passe-t-il sur le plan économique à la suite de tout cela alors ce qui se passe je viens de publier une énorme étude intitulée l'état de nos monnaies est ce que j'ai décrit est le fait que pendant de nombreuses décennies le dollar a été la monnaie de réserve et le système est ce que je décrirais comme bien implanté et les banquiers centraux essaie d'introduire un nouveau système mais il n'est pas encore prêt à être mis en place et nous sommes dans une période de grands changements et d'incertitude où les banques centrales essaye de maintenir le système du dollar et de l'accélérer donc essayé d'allonger le système du dollar et ensuite ils essaient d'accélérer la mise en place du nouveau système et doivent introduire le nouveau système sans que personne ne se rende vraiment compte de ce qu'il est exactement nous avons donc eu un système de monnaie de réserve mondiale le dollar qui doit évoluer et changer il est bien implanté les banquiers centraux essayer de mettre en place un nouveau système et pour ce faire il s'essaie détendre l'ancien et d'accélérer le nouveau ce qui rend la situation très chaotique car une grande partie du nouveau système a été testé et testé et a fait l'objet de prototype et il implique de nombreuses industries différentes je décris donc le nouveau système comme la fin des monnaies nous n'introduisons non pas une nouvelle monnaie mais essentiellement un nouveau système de transaction qui sera entièrement numérique et qui sera essentiellement la fin des monnaies telles que nous les connaissons ce qu'ils essayent de faire c'est d'utiliser essentiellement tout l'argent de la planète c'est donc énorme c'est compliqué c'est désordonnée et le défi qu'ils doivent relever est de savoir comment commercialiser un système donc personne ne voudrait si les gens le comprenez bien sûr la façon dont vous faites cela va avec une crise des soins de santé et pourquoi la crise des soins de santé va t-elle avec cela parce qu'en général ces quelques personnes veulent contrôler le plus grand nombre la question est de savoir comment on peut faire entrer tous les moutons à l'abattoir sans qu'il ne s'en rende compte et sans qu'il résiste donc la chose parfaite ce sont les ennemis invisibles oui donc nous avons eu la guerre contre le terrorisme vous savez avec les terroristes invisible et puis maintenant avis vu c'est parfait parce qu'il est invisible


    votre commentaire
  •  un documentaire troublant diffusé sur Arte

    L’Organisation Mondiale pour la Santé (OMS) ne serait-elle pas neutre ?  

    L’enquête « L’OMS : dans les griffes des lobbyistes ? » diffusée sur Arte montre qu’il y a en effet de quoi douterPour cause, au cours des trois dernières décennies, la structure internationale a perdu son indépendance financière : Aujourd’hui, ses principales ressources proviennent de plus en plus de fonds privés et d’entreprises dont les intérêts dépendent de ses décisions. De quoi laisser craindre une prise d’influence sur des questions de santé publique. (Vidéo en bas de page).
     
    « Entre analyse d’experts, détracteurs et défenseurs, langue de bois de son porte-parole Gregory Hartl et reportages sur le terrain, cette enquête livre une édifiante radiographie de l’OMS »
     promet Arte. L’enquête de 2016 menée par Jutta Pinzler et Tatjana Mischke pour la chaîne allemande NDR a tout d’explosif.

    Conflits d’intérêts en cascade

    Le documentaire de presque deux heures met en lumière une réalité mal connue du grand public : la dépendance financière de l’Organisation Mondiale pour la Santé (OMS). Cette structure, qui se définit comme « l’autorité directrice dans le domaine de la santé des travaux ayant un caractère international au sein du système des Nations Unies », a pour objet l’amélioration de la santé dans le monde. Bien qu’elle ait toujours été financée pour partie par des mécènes privés, cette part ne s’élevait qu’à 20% dans les années 1970 : les autres 80% provenaient des États membres des Nations Unis. Or, aujourd’hui, la situation s’est inversée.

    Ainsi, au regard des éléments apportés par l’enquête diffusée sur Arte, l’indépendance de l’OMS fait doute. En effet, contre toute attente, la structure est de plus en plus dépendante des financements en provenance de mécènes privés, comme Bill Gates ou les industriels pharmaceutiques, car elle manque d’aides publiques. Par conséquent, les conflits d’intérêts évidents se multiplient. Dans le même temps, « les faits s’accumulent : complaisance troublante envers le glyphosate – molécule active du Roundup cher à Monsanto –, que l’OMS a déclaré sans danger en dépit des victimes de l’herbicide, aveuglement face aux conséquences de la pollution liée aux compagnies pétrolières en Afrique, minoration des bilans humains des catastrophes nucléaires, de Tchernobyl à Fukushima, et des désastres de l’utilisation de munitions à uranium appauvri en Irak ou dans les Balkans. » La question est légitime : peut-on encore faire confiance à l’OMS, à ses rapports et à ses préconisations en matière de santé ?

     

    Les experts appellent à une régulation

    Pour étayer leurs propos, Jutta Pinzler et Tatjana Mischk reviennent sur différents dossiers sensibles, notamment celui du glyphosate, produit chimique utilisé par le géant de l’agro-alimentaire Monsanto dans ses pesticides. Dans le cas d’espèce , l’OMS avait déclaré en mai 2016 qu’il était « peu probable que le glyphosate provoque un risque cancérogène chez les humains qui y seraient exposés par l’alimentation ». Cette affirmation venait contredire les comptes-rendus du Centre international de recherche contre le cancer (CIRC) de l’OMS qui, un an plus tôt, classait la substance parmi les cancérogènes probables. Aujourd’hui, le produit ainsi que sa dangerosité continuent de faire de l’objet de nombreuses controverses.

    Ce n’est pas le seul sujet de santé sur lequel le doute est permis. Ainsi, alors que l’OMS a signé une convention avec l’Agence Internationale de l’Energie Atomique (AIEA), elle semble avoir minimisé le bilan humain de Fukushima. Le trouble existe également quant aux prises de décision sur des dossiers aussi sensibles que la lutte contre la tuberculose ou le virus H1N1.

    Partant de ces constats, de nombreux médecins, experts ou associations dénoncent une situation insoutenable d’un point de vu scientifique et éthique. C’est le cas de l’association « Bund », en Allemagne, pour qui les décisions de l’OMS à propos du glyphosate sont influencées par les lobbyistes. Ces nouvelles révélation suffiront-elles à mettre fin à une dépendance nocive qui empêche l’OMS d’agir de manière claire et ferme ?

    Belle vision à tous !


    votre commentaire